1992 : "le déclic"

En 1992, lors du rassemblement des vieux gréements, pour la première fois depuis la guerre, les Brestois redécouvrent le site dans des conditions festives mettant en valeur l’architecture des remparts, les petites places abritées autour du château, des bâtiments aux voûtes de pierre, transformés en lieux conviviaux, de nombreuses cales, des quais sinueux et un espace considérable abrité, serpentant au travers de la ville, avec des accès multiples de la rive droite à la rive gauche.

Un véritable choc psychologique se produit alors que Brest se cherche un cœur depuis plus de 30 ans. La fête passée et les portes refermées, cette image perdure dans le coeur des Brestois et se pose alors la question de l’usage et de l’économie des lieux.